POWSE
Des produits ultra-concentrés en plantes pour régénérer le corps et l’esprit, stimuler l'organisme et soulager les symptômes de la périménopause.
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Chaque nutriment — protéines, glucides, lipides — joue un rôle précis dans notre organisme. Mais pour en tirer le meilleur, il ne suffit pas de savoir quoi manger, ni même combien en consommer : il faut aussi savoir quand les consommer.
Le timing des nutriments, souvent sous-estimé, peut transformer votre santé, améliorer vos performances sportives, et même booster vos résultats sur la balance. Prête à devenir la chef d’orchestre de votre alimentation ? Voici comment ajuster le timing de vos repas pour un équilibre optimal.
On parle souvent d’équilibre alimentaire en se concentrant sur le quoi (les aliments), le comment (mindful eating) et le combien (les portions). Mais le quand est tout aussi essentiel.
C’est un peu comme arroser une plante : le faire au bon moment de la journée, selon les besoins, fait toute la différence. De la même façon, consommer les bons nutriments au bon moment est tout aussi important.
Il est conseillé de laisser un intervalle d’au moins 4 heures entre chaque repas. Ce délai permet à votre système digestif de bien faire son travail : digérer, absorber les nutriments, et éviter la surcharge.
Cet espacement est aussi essentiel pour que votre organisme puisse activer le CMM (Complexe Migrant Moteur), j'en ai déjà parlé sur Instagram : un réflexe naturel qui permet au système digestif de se nettoyer et se régénérer entre les repas. C’est un peu comme un mécanisme de vidange (le grand coup de balai) qui assure que tout circule bien dans votre tube digestif, évitant stagnations, ballonnements et inconfort.
Offrir ces pauses entre les repas, c’est aussi aider votre métabolisme à mieux fonctionner, et donner à votre corps une chance de se « réparer » et se préparer au prochain apport alimentaire.
Vous souvenez-vous de ces jours où, après une assiette de pâtes, vous vous sentez lourde, fatiguée ? Les glucides sont une arme à double tranchant : mal utilisés, ils ralentissent votre progression ; bien placés, ils boostent vos performances.
Avant l’entraînement : carburant pour performer
Les glucides consommés avant une séance sportive fournissent l’énergie nécessaire pour affronter un entraînement intense. Pensez à une voiture : sans essence, difficile de démarrer !
Après l’entraînement : recharger les batteries
Après l’effort, le réconfort : c’est le moment idéal pour reconstituer vos réserves de glycogène et aider vos muscles à récupérer.
Si vous faites un jogging le matin, optez pour une banane ou une petite poignée d’amandes 30 minutes avant. Mais évitez le plat de pâtes avant un cours de stretching !
Note sur la flexibilité métabolique
Le corps est capable de servir des graisses pour produire de l’énergie. Avec l’habitude, il peut tout à fait gérer un effort sans apport de glucides !
Les protéines (cf. quantités ici) sont un peu comme les briques d’une maison. Chaque bouchée contribue à construire et réparer vos muscles, fabriquer les hormones, enzymes, et tout type de tissu du corps.
Et tout ça en apportant une sensation de satiété durable.
Inclure des protéines à chaque repas permet de :
Maintenir une masse musculaire saine, même en période de perte de poids.
Favoriser un métabolisme actif.
Réduire les fringales et les grignotages intempestifs.
Exemple d’assiette équilibrée :
Une portion de poulet grillé.
Des légumes de saison.
Une cuillère à soupe de graines ou d’oléagineux pour les bons gras.
Attention aux associations légumineuses + céréales :
Elles forment une excellente source de protéines végétales complètes, ce qui est une très bonne idée pour varier les apports. Cependant, cette combinaison apporte aussi une quantité importante de glucides. Selon votre digestion, cette association peut parfois être plus difficile à tolérer, entraînant ballonnements ou inconfort. Il est donc important d’adapter cette association à vos sensations personnelles et à votre tolérance digestive.
Pensez à vos muscles comme à un chantier en construction. Les protéines sont les ouvriers qui travaillent 24h/24 pour consolider vos fondations.
Vous êtes déjà tombée dans le piège d’un burger-frites suivi d’une glace ? Cette combinaison hyper-appétissante de glucides et de lipides est un cauchemar pour votre régulation hormonale. L’excès stimule une libération excessive d’insuline, entraînant souvent des fringales incontrôlées et le stockage immédiat sous forme de graisse.
Les pires coupables :
Les fast-foods.
Les pâtisseries.
Les chips et autres snacks industriels.
Vous avez l’habitude de vous entraîner à jeun ? Bravo, vous stimulez votre métabolisme et votre capacité à brûler les graisses.
Mais attention : après une séance à jeun, votre corps est dans un état de grande sensibilité. Il réclame des nutriments spécifiques pour se réparer et grandir.
L’astuce :
Dans l’heure qui suit, consommez une source de protéines de qualité (comme un shake de protéines ou un œuf dur) accompagnée d’une petite portion de glucides (comme des fruits rouges). Cela maximise la récupération et préserve votre masse musculaire.
Imaginez une éponge sèche, prête à absorber chaque goutte d’eau. Après un entraînement à jeun, vos muscles agissent de la même manière avec les nutriments.
Le timing des nutriments n’est pas une contrainte ; c’est une opportunité.
En ajustant vos habitudes alimentaires, vous pouvez :
Améliorer votre santé.
Perdre du poids sans frustration.
Optimiser vos performances sportives.
N’oubliez pas, il s’agit avant tout d’équilibre et de plaisir.
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